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Portrait de Lotus Lotus - 29/03/2024 - 09:05

Hello, ciel gris et pluie... après l'orage d'hier.

Portrait de Denise88 Denise88 - 29/03/2024 - 08:03

Coucou, il pleut !!! le soleil nous boude !!!

Portrait de marjo marjo - 28/03/2024 - 12:18

Bonjour les artistes :)

Portrait de Triplechoc Triplechoc - 28/03/2024 - 08:48

Ici ciel blanc mais soleil. Salut les artistes et plein de courage à tous ;)

Portrait de PMANSON PMANSON - 28/03/2024 - 08:09

Hello

Portrait de Denise88 Denise88 - 28/03/2024 - 07:55

vent et pluie, comme d'habitude !!! courage, Lotus

Portrait de Lotus Lotus - 28/03/2024 - 07:33

Bonjour... il pleut, pour ne point changer... journée médicale aujourd'hui

Portrait de Triplechoc Triplechoc - 27/03/2024 - 23:22

Bonsoir les artistes !

Portrait de marjo marjo - 27/03/2024 - 13:06

Hello

Portrait de Lotus Lotus - 27/03/2024 - 08:44

Hello... la journée commence par des condoléances de mon côté

Portrait de PMANSON PMANSON - 27/03/2024 - 07:20

Hello

Portrait de Denise88 Denise88 - 27/03/2024 - 05:50

coucou, bonne journée

Portrait de Lotus Lotus - 26/03/2024 - 23:55

Bonsoir à tous.

Portrait de Marly Marly - 26/03/2024 - 15:47

Bonjour à qui passera par ici ! :)

Portrait de marjo marjo - 26/03/2024 - 14:33

Bonjour :)

Portrait de Triplechoc Triplechoc - 26/03/2024 - 10:48

Ô le chant de la pluie ! Superbes mots de Rimbaud. Salut les artistes ! Ici pluie continue...

Portrait de Triplechoc Triplechoc - 26/03/2024 - 10:47

Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville. Quelle est cette langueur qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s’ennuie...

Portrait de Denise88 Denise88 - 26/03/2024 - 09:09

coucou, ciel gris

Portrait de Lotus Lotus - 26/03/2024 - 08:46

Hello, ciel gris et nuages... mais on ne se plaint pas...

Portrait de Lotus Lotus - 25/03/2024 - 10:01

Bonjour nord-alsacien avec températures négatives cette nuit... le soleil tarde à réchauffer tout ça, mes lézards se planquent encore du coup

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SUJET :

LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 17 Oct 2019 16:26 #10206

Pour les chanceux de Parisiens, comme toujours! :-)

NB : pour les pauvres provinciaux comme moué, "Beaux Arts" consacre un numéro au peintre

Le Gréco me fascine, je trouve que sa peinture était très en avance sur son temps. Théophile Gauthier en découvrant son oeuvre a écrit : "“une énergie dépravée, une puissance mala-dive qui trahissent le grand peintre ou le fou de génie”.
Allez, un chti't copier/coller du Monde ;) (on leur dit pas, chut!)

Le Greco, l’artiste qui a transfiguré la peinture, au Grand Palais - Jusqu’au 10 février 2020.
Grandpalais.fr

Le monument parisien accueille la première grande rétrospective consacrée, en France, au génie crétois. Ses toiles saisissent toujours par leur intensité, leur singularité et leur évolution.
Philipe DAGEN



"Le Christ et les marchands du temple" vers 1570
(là c'est moi qui écrit : on ne peignait jamais Jésus comme un "homme violent", si? Notons ici qu'il tient une espèce de fouet quand même, on dirait carrément un taliban excusez-moi, Jésus, moi je ne le vois pas comme ça, plutôt comme un Socrate essayant de persuader par la parole, mais c'est El Greco !!!! Quel désordre, même les mères en égarent les enfants perdus sur le sol! Incroyable!)

Il y a au Grand Palais 71 œuvres de Dhominikos Theotokopoulos (1541-1614), dit le Greco. C’est la première fois qu’il y est présenté, en dépit et en raison de sa célébrité. Celle-ci rend désormais presque aussi difficile le prêt d’un Greco que celui d’un Vinci.

Le célébrissime Enterrement du comte d’Orgaz n’a pas quitté l’église Santo-Tomé de Tolède (Espagne), ce qu’expliquent ses dimensions et sa disposition sur le mur d’une chapelle qu’il occupe entièrement. Aucune toile n’est venue non plus du Musée du Prado, ce qui ne peut s’expliquer que par la mauvaise volonté de l’établissement madrilène.

On ne verra donc ni la version de L’Adoration des bergers (dommage! on dirait des punks shootés à la méthadone autour du berceau divin!!!!!) qui y est conservée, ni celle du Baptême du Christ (mauvaises repros sur le net, mais certains endroits de la toiles semblent sortis de l'esprit de S. Dali!), toutes deux extravagantes de dynamisme et de dissonances.

A l’inverse, les musées nord-américains ont joué le jeu, sans doute parce que l’exposition ira au printemps 2020 à Chicago (Illinois). Le Metropolitan de New York a envoyé le Portrait du cardinal Nino de Guevara, qui ne souffrirait pas d’être accroché face à celui du pape Innocent X par Velasquez (1599-1660) si cher à Francis Bacon, et Boston celui du frère Hortensio Felix Paravicino, qui pourrait être de Géricault ou de Manet.

L’Art Institute de Chicago a prêté L’Assomption de la Vierge, toile monumentale et chatoyante placée au centre de la galerie. Elle appelle le regard d’aussi loin qu’on l’aperçoit.

(une femme puissante, insoumise : on aime! notons qu'elle est aussi très brune, loin des canons de l'époque : Marie est "blonde", et pure.)

Ces œuvres illustres voisinent avec de moins connues, la Marie-Madeleine pénitente du musée de Budapest et d’autres venues de collections particulières – parce qu’il y a encore des Greco en mains privées et pas tous petits.

Une scénographie épurée pour bien regarder

Pour cause de travaux sur les toitures du Grand Palais, première étape du chantier qui causera sa fermeture complète en décembre 2020, l’exposition a lieu non dans un des deux espaces d’exposition dévolus aux grandes rétrospectives mais dans celui qui est poétiquement nommé Galerie sud-est.
Galerie en effet : rectiligne, longue, haute de plafond mais guère large. Ces caractéristiques ont déterminé une scénographie épurée, blanche et droite, sans aucune des courbes et couleurs murales que le Grand Palais inflige souvent aux visiteurs. Ainsi peut-on se livrer simplement à cette activité qui n’a rien de simple : bien regarder des Greco et se demander comment de telles peintures ont été possibles.

Voir aussi Exposition : Le Greco illumine le Grand Palais

Question majeure, que l’histoire de l’art affronte en vain depuis qu’elle a redécouvert le peintre à la fin du XIXe siècle. Elle ne manque plus de données biographiques.
Ce Crétois naît à Candie en 1541 dans une famille de marins et de marchands. Son frère aîné, collecteur d’impôts, subvient à ses besoins le temps qu’il apprenne la peinture d’icône. Son savoir-faire est reconnu alors qu’il n’a pas plus de 25 ans. Il s’établit à Venise en 1567, à Rome de 1570 à 1577, où il n’a qu’un succès modeste.
En 1577, il part pour l’Espagne en quête de commandes et, à défaut de réussir à Madrid, s’installe à Tolède. Il y signe ses premiers contrats pour la cathédrale, des églises, des couvents. De ce moment à sa mort, son existence est bien documentée, en raison des nombreux procès qu’il fait ou qu’on lui fait pour prix excessifs, paiements en retard, avances non versées et autres affaires en milliers de ducats. (tiens, comme un certain Léonard! ^^)


Pour satisfaire aux demandes, il se fait aider par son fils Jorge Manuel, qui se voudrait plutôt architecte. Alors que son état physique l’empêche de travailler, il meurt le 7 avril 1614. Ces éléments peuvent nourrir des études sur la situation sociale de l’artiste, le marché de l’art et la circulation des œuvres et des hommes au XVIe siècle. Mais ceci n’explique pas son art.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi L'Espagne fête le Greco, l'étranger devenu universel

Changer du tout au tout

Ses années vénitiennes et romaines le permettent-elles ? En partie. A ses débuts crétois, comme le rappelle un Saint Luc peignant la Vierge en mauvais état, Theotokopoulos travaille dans la tradition des icônes : fond d’or, postures stéréotypées, nulle perspective.

Or à Venise, où il vient travailler pour la clientèle d’origine grecque, il est soumis à un régime de très violentes révélations : Titien, Véronèse, Tintoret et tout ce qu’il découvre de la Renaissance, Raphaël, Michel-Ange, Pontormo… Ses compétences de peintre d’icône ne suffisent plus. S’il s’en tient à elles, il ne sera jamais qu’un bon fournisseur d’images sacrées. Il doit changer du tout au tout.


"L'ouverture du 5ème sceau" vers 1614 (on a l'impression d'une scène tirée d'un film fantastique, genre "Constantine"!!!!)

Il doit apprendre à figurer des corps souples et mobiles, à construire un espace profond, à agrandir ses formats en abandonnant le panneau de bois pour la toile sur châssis. Il lui faut assimiler une iconographie chrétienne nouvelle pour lui et – exigence suprême – inventer des compositions qui le distinguent de ses contemporains parce qu’il ne saurait se contenter d’être un suiveur tardif.

Y parvenir, c’est accomplir une révolution d’une ampleur telle qu’elle devrait être impossible. Il la mène néanmoins. De ce qu’il sait faire en 1567 à ce qu’il ose dix ans plus tard, la distance est folle, ce qui suppose une volonté, une ambition et une force exceptionnelles. On ne peut qu’exposer les données de cette énigme, sans la résoudre : comment Theotokopoulos est-il devenu Greco ?

D’une stupeur à une autre

En quelques mètres, l’œil passe d’un apprenti de presque 30 ans qui récapitule les styles au goût du jour à l’auteur d’une Adoration de Bergers de la fin de la décennie 1570, peu après son arrivée en Espagne, qui ne ressemble à rien de connu avant lui, et où il est tout entier : une toile de plus de deux mètres de haut, le mouvement ascendant vers des anges blancs translucides, un clair-obscur d’incendie dans la partie basse, des corps en torsades de plis, des visages abrégés aux yeux de possédés.

Tout ce que l’on entend par Greco autrement dit et qui enfle et s’exaspère ensuite, jusqu’aux deux versions de L’Agonie du Christ au jardin des oliviers, à celle du Christ chassant les marchands du Temple d’une chapelle madrilène et l’une des toiles ultimes, L’Ouverture du cinquième sceau (dite aussi La Vision de saint Jean), d’une singularité et d’une intensité toujours sidérantes aujourd’hui.

Lire aussi El Greco, diva européenne de la peinture ballottée entre le succès et l'oubli

On va de l’une à l’autre comme d’une stupeur à une autre. Les couleurs crient ou grincent. Les corps s’effilent ou deviennent spectraux. Les cieux sont peints comme des draperies déchirées et les draperies comme des écharpes de nuages. Ces visions feraient presque oublier ses portraits, si compacts et vivants, et ses étranges petites toiles sur le thème du feu et de l’éblouissement. La métamorphose de Greco a fait naître un artiste capable de prodiges.

« Greco », Grand-Palais, Paris 8e. Lundi, jeudi, dimanche de 10 heures à 20 heures, mercredi, vendredi et samedi jusqu’à 22 heures. De 9 € à 13 €. Jusqu’au 10 février 2020. Grandpalais.fr
Lire aussi Hommage des écrivains à un peintre « fou de génie »
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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 17 Oct 2019 16:40 #10207

pour aller plus loin : un court article en accès libre, appréciations d'écrivains :
El Greco : hommage d'écrivains
17 10 19


(qu'il y a t il sur le petit papier que le cardinal semble avoir laissé choir par terre??? un billet doux? quant à son habit, on dirait la robe en fausse viande de Lady Gaga!!!!:woohoo: )



"Vue de Tolède sous l'orage" (1596_1600)

Etrange toile surtout pour l'époque, les tours ressemblent à des gratte ciels, les buissons du 1er plan ont la même taille que les arbres, et ce ciel!!!
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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 17 Oct 2019 19:47 #10222

Intéressant ! Les procès qu'il a fait, sa progression étonnante... Et des toiles d'une grande intensité ! Merci, Claudia !

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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 18 Oct 2019 00:02 #10239

Merci Claudia :p
Ma mini GALERIE au Café des Arts
Je peins, tu peins, il peint, nous peignons, vous peignez, ils peignent... sans dé mais ce peut être par jeu quand même ;-)

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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 18 Oct 2019 00:11 #10244

Tu as raison pour la robe de Lady Gaga ! ;r2

J'adore celle avec l'orage ! Quelles belles couleurs ! :c

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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 20 Oct 2019 00:41 #10410

c'est vraiment un peintre qui m'a toujours intriguée!

c'est allé vite, j'ai reçu Beaux Arts mag. ce matin, cool! je l'ai HT surtout pour les repros :) :) :) en lisant un article deci-delà - j'ai trouvé aussi un vieux machin à quelques centimes, d'occas, on verra s'il est bien (on a parfois de bonnes surprises. Comme ce livre de dessins de Delacroix, j'ai essayé d'en reproduire, comment dire.... je vous montrerais bien mes ratages, mais là ils ont été recyclés depuis lgtps MDR!)

c'est comme les beaux livres, je me régale de me caler dans un coin confortable et de les parcourir... sans tout lire, j'avoue, c'est long sinon !

et tiens, en lisant un truc, c'est curieux : El Greco peignait des silhouettes allongées, c'est pas faux, et beaucoup de chercheurs en art pensaient qu'i était ... astigmate!



si j'ai l'opportunité, je sens que certains tableaux vont m'inspirer pour INKtober, puisqu'il y a "ghost/fantôme" dans la liste des sujets! et je trouve les personnages du Greco très fantomatiques justement. Franchement cette expo (aaaah et il y a de Vinci à Paris, ne l'oublions pas!) doit être un régal !!!!
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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 20 Oct 2019 18:47 #10452

:s1 Et pourquoi lorsqu'on est astigmate ferait-on des silhouettes allongées ?

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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 23 Oct 2019 20:20 #10707

je sais pas, je n'y connais rien en optique!!!!! je crois que ça rapport aux lignes droites, mais à part ça....euh....

sympa, reçu 2nd bouquin (quelques centimes, en fait j'ai payé que le port, 3€) sur El Gréco (oui j'aime bien. Cela touche certainement mon goût pour l'étrange et le fantastique!!!!)!
il est en très bon état comme neuf bien que datant de 2004 et a des repros qui sont pas dans le magazine. Bon, en anglais.





"Lacoon" 1610

(Le mythe représente Laocoon, prêtre de Poséidon à Troie, fils de Capys et frère d’Anchise. Il met les Troyens en garde contre le cheval de Troie laissé par les Grecs en déclarant « Timeo Danaos, et dona ferentes (je crains les Grecs même lorsqu’ils offrent des présents) », et lancera son javelot contre ses flancs : le cheval sonne creux, mais personne ne le remarque. Deux serpents venus de l’île de Ténédos le tuent, ainsi que ses deux fils. Les Troyens attribuent sa mort à un châtiment de Poséidon ou d’Athéna, offensés qu’il ait blessé l’offrande qui leur était destinée. Convaincus du sacrilège, les Troyens feront entrer le cheval dans l’enceinte de la ville.
Une autre version plausible est proposée par des archéologues : Laocoon aurait été un prêtre d’Apollon qui s’était attiré la colère de son dieu en prenant femme contre sa volonté ; les serpents se dirigent vers le temple d’Apollon après avoir tué Laocoon ; puis les serpents se cachent derrière le bouclier d’Athéna, dans son temple. wiki)
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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 23 Oct 2019 20:40 #10708

bon, ça m'a tracassée cette histoire de peintre astigmate :


On parle alors d'astigmatisme cornéen lorsque c'est la cornée qui présente cette forme de "ballon de rugby" et d'astigmatisme interne lorsqu'il s'agit du cristallin. En raison de cette courbure particulière, l'astigmate voit donc inévitablement les images avec moins de contraste et de façon plus floue et déformée que les autres personnes. Et ce, qu'il s'agisse de la vision de près ou de loin. Il a par ailleurs tendance à plisser les yeux pour mieux voir et à souffrir de maux de tête.
La myopie est elle aussi un trouble visuel, dû cette fois à un œil géométriquement trop long, parfois trop puissant. La cause pourrait être génétique. Les myopes voient donc généralement bien de près, mais flou de loin,

"Seule la périphérie des images semble déformée en certaines occasions. Cette distorsion amène à confondre les lettres H et M, les chiffres 8 et 0…"

ah voilà :Vision de loin et de près imparfaite, fatigue visuelle, [b]impression que certaines lignes sont déformées [/b]… Autant de signes qui peuvent traduire un astigmatisme.

donc, à cause de cela ils ont pensé que Le Greco était astigmate! à cause de la déformation des verticales.
Mais à ce moment, comment voyaient le monde Marc Rothko ou Cy Twombly? :P :P :P

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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 23 Oct 2019 21:22 #10712

Je suis astigmate et sans mes lunettes j'ai du mal à différencier les O, C, G et les P& F, H & N. Et j'ai des petits problèmes avec les lignes obliques. Je crois que l'astigmatisme s'exprime de bien des façons ! ;-)
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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 28 Oct 2019 14:21 #10807

Et le pire c'est qu'à l'époque ils ne devaient pas avoir de lunettes performantes !

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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 28 Oct 2019 17:56 #10814

Je ne sais pas!

en tout cas je me régale avec les fascicules sur El Greco, mais c'est incroyable ce qu'il peignait!
Je me demande comment la censure papale ne lui est pas tombé dessus.
Certains personnages sont bleus.
Les "élus" du Paradis et les anges sont esquissés, certains ont la tête esquivée (sous la grande cape verte! par dessus un ange se tient sur une "soucoupe volante"!^^) alors que la "salle d'attente" est bondée et les "patients" attendant d'être fixés sur leur sort sont détaillés...("L'adoration du Christ ou Le songe du roi Philippe) quant à ce qu'il se passe en enfer, on ne comprend rien!


certains tableaux sont carrément "fantastiques" par exemple "L'agonie du Christ au jardin de Gethsémané" vers 1590. Les personnages à gauche sont dans une grotte/coquille, petits
Les soldats romains à droite sont carrément lilliputiens!
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LE GRECO au Grand Palais, automne 2019 31 Oct 2019 07:28 #10873

Oui, il faisait dans le fantastique !

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