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Portrait de Lotus Lotus - 26/04/2024 - 20:33

Hello tardif...

Portrait de marjo marjo - 26/04/2024 - 13:45

Salut les artistes :)

Portrait de Triplechoc Triplechoc - 26/04/2024 - 12:04

Soleil chez nous et on doit monter à 17° donc tout va bien :D et en plus c'est vendredi et donc yoga donc je suis zeeeeeeeeeennnnnnn ! :P

Portrait de PMANSON PMANSON - 26/04/2024 - 08:40

Hello

Portrait de Patrick Patrick - 26/04/2024 - 08:17

Hello ! Il a plu cette nuit, cela fait du bien à la végétation. Ce matin, soleil. Averses dans la journée.

Portrait de Denise88 Denise88 - 26/04/2024 - 08:11

coucou, bonne journée

Portrait de Lotus Lotus - 25/04/2024 - 21:32

Hello, la grêle a détruit mes vignes dont les feuilles commençaient à être fort belles

Portrait de Patrick Patrick - 25/04/2024 - 15:03

Coucou les artistes ! Bravo Pipo ! :) Matinée agréable, mais le vent vient de se lever, il est annoncé de la pluie pour plusieurs jours.

Portrait de marjo marjo - 25/04/2024 - 12:58

Bonjour à tous(tes) :)

Portrait de Triplechoc Triplechoc - 25/04/2024 - 12:02

Salut les artistes !

Portrait de PMANSON PMANSON - 25/04/2024 - 08:04

Félicitations Pipo, hello , ciel clair

Portrait de Denise88 Denise88 - 25/04/2024 - 08:00

félicitations, coucou les artistes, 1°, il n'y a jamais eu autant de neige en ce moment qu'en hiver, les derniers vacanciers profitent de cette neige mais sans les remonte-pente !!! bonne journée

Portrait de SN SN - 24/04/2024 - 17:55

Sacré engin Pipo :)

Portrait de Lotus Lotus - 24/04/2024 - 17:11

approché... PATRICK... ON NE PEUT PLUS CORRIGER

Portrait de Lotus Lotus - 24/04/2024 - 17:10

Félicitations Pipo. C'est une grande occasion et... un beau poids. Mon N° 2 a aussi rppché les 5 Kgs, sorti comme une lettre à la poste.

Portrait de marjo marjo - 24/04/2024 - 16:27

Bonjour ,félicitations Pipo :)

Portrait de Triplechoc Triplechoc - 24/04/2024 - 14:06

Félicitations Pipo ! Tu nous feras une belle aquarelle de bébé :D

Portrait de MiVi11 MiVi11 - 24/04/2024 - 12:46

Beau bambin mais pauvre jeune maman. Encore une raison supplémentaire pour que ton petit coeur tout doux fonde?

Portrait de Pipo Pipo - 24/04/2024 - 11:56

Bonjour les artistes un petit passage en coup de vent pour admirer vos œuvres. Je suis papi depuis le 22 d'un petit garçon de 4.5 kg et de 56 cm

Portrait de Denise88 Denise88 - 24/04/2024 - 08:51

Moins 1°, ce matin, et maintenant, il neige vraiment fort !!!! 3°.

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SUJET :

Charles Pollock, ou peindre dans l'ombre d'un frère célèbrissime 10 Oct 2019 15:50 #9613

Un article paru aujourd'hui dans "Le Monde" que je copie/colle (il n'est pas en accès libre)

Je me demande si j'aurais continué à créer si j'avais un parent célèbre comme le fut Jackson. "L’histoire de l’art est riche de telles fratries d’artistes : Pieter et Jan Brueghel, Vilhelm et Svend Hammershoï, Gustave et Martial Caillebotte, Alberto et Diego Giacometti, Marcel Duchamp et Duchamp-Villon, Balthus et Klossowski… La plupart du temps, l’un écrase l’autre de son talent, ou du moins de sa renommée. "

Ignoré toute sa vie, le peintre Charles Pollock est pour la première fois exposé à Paris
3 octobre 2019 - emmanuelle-lequeux/

Éclipsé par son légendaire frère Jackson, le peintre Charles Pollock resta toute sa vie ignoré du monde de l’art. Grâce à sa veuve et à sa fille, l’œuvre de cet artiste mort en 1988 est exposée à la Galerie ETC, dans le Marais à Paris. Une première dans la capitale française.

Il aurait pu rester à jamais dans l’ombre. Un peintre oublié parmi tant d’autres. Un « frère de » dont ne se souviennent que quelques proches. De dix ans son cadet, le frangin avait pris toute la lumière. Jackson Pollock, héros de l’abstraction américaine, mort en 1956, à 44 ans, au volant de sa Oldsmobile décapotable sur une route de Long Island. La fulgurance d’une comète. Une célébrité absolue de son vivant. Comment exister, résister, persévérer comme peintre, avec un tel cadet dans la lignée ?

Disparu en 1988, trente-deux ans après le génie de la famille, Charles Pollock n’a jamais renoncé à créer. [tweet

]Soixante ans de carrière, mille peintures et dessins à son actif, une œuvre variée, faite d’évocations de la classe ouvrière avant-guerre, de digressions calligraphiques, d’explorations lumineuses de la couleur dans la décennie suivante ou de gravures sombres[/tweet]…

Et pourtant, qui le connaît ? Il a exposé et conversé avec tous les maîtres du Color Field painting, les Morris Louis, Kenneth Noland, Mark Rothko qui, dans les années 1950, explorèrent la couleur en larges aplats, faisant d’elle le sujet même du tableau.

Art discret

Quelques institutions américaines, comme le Detroit Institute of Arts Museum ou la National Gallery of Art de Washington, l’ont bien fait entrer dans leurs collections ; deux universités du Michigan conservent ses fresques. Mais dans les musées français, rien. Certes, une poignée d’experts et de collectionneurs l’ont dans le viseur, surtout depuis que la Collection Guggenheim de Venise lui a rendu hommage, en 2015. C’était à l’occasion de l’arrivée d’une peinture murale de Jackson…

Quand les drippings de son frère font exploser les enchères à hauteur de 58,4 millions de dollars (record de 2013), l’œuvre de Charles reste très loin de ces sommets.

L’histoire de l’art est riche de telles fratries d’artistes : Pieter et Jan Brueghel, Vilhelm et Svend Hammershoï, Gustave et Martial Caillebotte, Alberto et Diego Giacometti, Marcel Duchamp et Duchamp-Villon, Balthus et Klossowski… La plupart du temps, l’un écrase l’autre de son talent, ou du moins de sa renommée. Mais une disparition comme celle de Charles, c’est du jamais-vu.

Seuls quelques catalogues poussiéreux garderaient sa trace, sans l’amour et l’opiniâtreté de sa veuve, Sylvia, 84 ans, américaine également, et de sa fille, Francesca, 52 ans, psychanalyste. Vingt ans que les deux femmes se battent pour raviver sa mémoire. À partir du 10 octobre, une exposition à la Galerie ETC, dans le Marais à Paris, vient enfin consacrer leurs efforts.

Paris… Charles Pollock y a passé ses dix-sept dernières années, de 1971 à sa mort, accompagnant son épouse, graphiste, qui y avait trouvé un emploi. Il n’y a appris que quelques mots de français : « un ballon de côtes-du-rhône ». Mais l’ancien professeur à l’Université du Michigan aimait cette ville, en homme de gauche déboussolé par le cynisme du pop art qui s’était emparé de son pays natal. « Paris l’a ravi, avec toutes ces écoles gratuites, cette protection sociale dont jouissaient les citoyens : ses idéaux politiques se réalisaient ici », raconte Francesca.

Un père aimant et taciturne, « Chas », comme l’appelaient ses intimes, disparu avec tous ses silences. C’est lui qui lui a légué ce prénom à l’italienne, emprunté au maître du Quattrocento Piero della Francesca, et mille questions.

« Enfant, je voyais mon père créer dans son atelier, se souvient-elle, mais jusqu’à son décès je n’avais absolument rien vu de son œuvre de jeunesse. Il parlait peu, et surtout pas de son travail d’avant. À sa retraite, mes parents étaient arrivés à Paris avec moi. Lui avait surtout la volonté de se consacrer enfin à son art à plein temps. »

« Mon père avait un rapport difficile aux galeries,. “Mon temps viendra”, pensait-il. » Francesca Pollock

Il l’a fait ardemment, discrètement, dans le secret de son atelier de la rue du Cherche-Midi, sans chercher la lumière. Puis il est mort, dans l’indifférence polie du monde de l’art.

Bien sûr, il en recevait, des visites ! Directeurs de musée et critiques d’art venus du monde entier. Mais pour lui parler de l’autre Pollock. Et lui, trop humble et fier pour se mettre en avant.Dans la maison de famille aux murs couverts des toiles et gravures de l’absent, cachée au fond d’un jardin du 20e arrondissement, Francesca tente aujourd’hui de recoller les morceaux.

Partageant son temps entre son travail de psychanalyste et ses recherches d’historienne de l’art familial, elle y a soigneusement classé les archives paternelles avec l’aide de sa mère. Elles ont achevé le catalogue raisonné, trouvé une galerie à Munich.

La démarche d’une vie pour donner à l’œuvre une autre existence.Rien de tout cela ne serait arrivé, sans ce jour de 1995 qui reste à jamais gravé dans la mémoire de Francesca. « Je suis entrée dans un entrepôt de Harlem où, sans nous en parler, mon père avait stocké toutes ses œuvres antérieures aux années 1970. C’était tout sombre. J’ai vu un tableau inspiré par son voyage au Mexique, en 1955. Et je me suis dit : “Soit on brûle tout, soit on fait quelque chose.” »

Elle l’a compris soudainement, son père n’avait pas été « oublié » : « Il n’avait tout simplement jamais été vu, car il n’était pas visible.

Parce qu’il s’est beaucoup donné à l’enseignement, qu’il avait un rapport difficile aux galeries, qu’il ne trouvait pas sa place dans le marché. Il était aussi beaucoup sur la réserve, pas du tout dans le storytelling. “Mon temps viendra”, pensait-il. »


À la fin de sa vie, alors que Charles Pollock était à l’hôpital, hémiplégique, Francesca lui avait apporté l’une de ses toiles pour voir s’il la reconnaissait. Le vieil homme avait regardé le tableau et lancé à sa fille : « That’s a damned good artist ! » (c’est un sacrément bon artiste !). « Comme s’il me donnait une injonction douce », dit-elle aujourd’hui.

Elle a fouillé dans les papiers et lettres et a pu reconstituer l’histoire de sa famille américaine, cette saga pleine d’ellipses : le trajet de ses parents, de son grand-père Leroy Pollock, qui avait fait mille petits boulots, dont celui de travailleur nomade pour la voirie quand sa femme, mère au foyer, couvait Jackson, cet oncle que Francesca n’a pas connu, et les autres membres de la fratrie :Sandy s’essaya à la peinture avant de devenir graveur, Jay fut héliograveur, et Frank s’occupa d’une roseraie industrielle.

Quête intérieure

Une famille certes soudée, mais dont le succès fulgurant de Jackson a changé la destinée. Ainsi, Francesca a retrouvé une lettre, envoyée par Charles à sa mère, juste après l’annonce du décès de son benjamin surdoué :

« Difficile à croire que Jack nous a quittés si jeune. À un esprit sensible comme le sien, désirant ardemment exprimer un sentiment profond de beauté et de signification, ce monde de gadgets a dû sembler très cruel et indélicat. (…) L’idée me turlupine : comment aurais-je pu l’aider quand il était au creux de la vague entre deux pics créatifs ? »

La disparition brutale de son frère l’a d’autant plus bouleversé que c’est lui, Charles, qui est à l’origine de sa vocation de peintre.

Le premier artiste de la famille, c’est lui, et non Jackson. C’est pour redonner un peu de foi et d’espoir à ce gamin rétif à toute autorité, prêt à sombrer dans la délinquance, que Chas lui propose, au début des années 1930, de suivre à ses côtés les cours de Thomas Hart Benton, à New York. Chantre de l’art engagé, le peintre mentor prône un réalisme socialiste à l’américaine. Il initie ses élèves à l’art des muralistes mexicains, qui chantent dans leurs fresques la révolution prolétarienne. Comme lui, Charles n’a qu’un rêve : « Rendre au peuple ce qui revient au peuple. »

Durant l’année 1934, il embarque Jackson dans un long périple à travers leur pays frappé par la crise.Ensemble, ils manifestent aux côtés des grévistes, sautent d’un train de marchandises à l’autre, se débrouillent pour arracher trois sous à l’ambitieux programme artistique lancé par Roosevelt pour son New Deal, s’inquiètent de la montée du nazisme.

Usines, mines, terrils, Charles chantera la classe ouvrière pendant vingt ans, réaliste à tout crin. Jackson, lui, partira bien plus vite pour les terres oniriques de l’abstraction.

« Mon père a toujours été dans le collectif, mais il a sans doute regretté d’être resté trop longtemps loyal au réalisme socialiste, qu’il n’a abandonné qu’en 1945 pour l’abstraction, estime Francesca. Jackson était plus rebelle, mon père ne l’a jamais été. »

A-t-il payé ce conformisme ? L’après-guerre a besoin de héros, de conquérants à l’assaut de nouvelles frontières.

Après le désastre, elle cherche à oublier dans la flamboyance de l’abstraction les millions de morts. Jackson incarne tout cela. Ses drippings, danses endiablées avec le pinceau, connaissent un succès fulgurant. L’action-painting conquiert la scène mondiale. Il en est le grand prêtre, le génie, le prophète. La quête de Charles est bien plus intérieure.

Est-ce pour cette raison que leurs liens se distendent, tandis que leur frère Sandy prend le relais, renonçant à sa carrière d’artiste pour soutenir Jack au quotidien, le relever quand il sombre dans la déprime, tenter de le préserver des ravages de l’alcool ?[/u

]Chez Charles, le passage à l’abstraction relève d’une autre forme de crise existentielle. Quel bienfait ont donc tiré les masses laborieuses de tous ces dessins où il leur rendait hommage ? À ses yeux, l’art doit désormais être « une identification personnelle au mystère, à la magie, aux forces de l’esprit. Une illumination ».

Il suit alors la voie de Paul Klee, Matisse, Miró, se passionne pour la calligraphie, qu’il enseigne et qui lui inspire des toiles couvertes de signes cryptiques. La réinvention d’un langage, de A à Z. Voilà enfin son « écriture personnelle », clame son ami, le peintre Barnett Newman.

Les deux frères n’ont rien à voir. Ou bien c’est dans leurs différences qu’ils se ressemblent tant. Dans un texte d’introduction à l’exposition de la Galerie ETC, le poète et critique d’art Maurice Benhamou (père et grand-père des fondateurs du lieu) écrit :

« Jack, hors du monde, visionnaire audacieux jusqu’à l’imprudence. Charles sensible à l’humanité souffrante, engagé dans les combats sociaux. Créant enfin, à eux deux, une peinture totale. »

Les deux faces d’un même idéal ? Janus Pollock, rivaux et quasi-jumeaux qui se partagent le territoire de la peinture ?

« Cette vision est très juste, les deux frères étaient vraiment comme deux pôles contraires, reconnaît Francesca, qui a une sincère admiration pour l’oncle qu’elle n’a jamais connu. L’un dans la lumière, l’autre dans l’ombre ; l’un dans l’extériorité, l’autre tout en intériorité. »

Et de poursuivre : « Tout, chez mon père, chaque mot que je lis, parle du monde extérieur, et de sa peur de ce qui s’y joue, du point de vue esthétique comme politique. Il n’était pas du tout dupe de la façon dont Jackson a été pris par l’image, et qui, d’une certaine façon, l’a tué. »


Charles Pollock a survécu à son frère, mais les décennies qui ont suivi sa mort n’étaient pas propices à sa discrétion, à sa peur et à son retrait du monde.

Les années 2010 sont heureusement plus favorables à une réécriture de l’histoire de l’art. Les marginaux, les oubliés, les colonisés, les épouses dominées, les losers magnifiques ont le vent en poupe dans tous les musées. Le temps de Charles est-il enfin venu ? Un destin ne se répare pas, Francesca le sait mieux que quiconque.

« Mais montrer ce qui n’a jamais été montré, c’est néanmoins une sorte de réparation. Charles, c’est l’histoire d’un siècle et celle d’un regard. Quant à sa voix, moi je cherche encore à l’entendre, et cela me réveille la nuit. »


Charles POLLOCK, Galerie ETC, 28, rue Saint-Claude, Paris 3e. Tél. : 09-50-77-40-07. Du 10 octobre au 1er décembre.
Pollock & Pollock, d’Isabelle Rèbre, un film consacré au dialogue entre Charles et Jackson, en salle début 2020.


Charles "Chas" Pollock - "crayons #16"

Pièces jointes :

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Charles Pollock, ou peindre dans l'ombre d'un frère célèbrissime 10 Oct 2019 16:19 #9616

Etonnant n'est-ce pas ?
et pourtant… Tant d'artistes, et pas seulement dans ce domaine du dessin et de la peinture,
n'ont pas été ou ne sont, tout simplement, "pas visibles"...

"Elle l’a compris soudainement, son père n’avait pas été « oublié » : « Il n’avait tout simplement jamais été vu, car il n’était pas visible."

:p Merci Claudia pour cet article.
Ma mini GALERIE au Café des Arts
Je peins, tu peins, il peint, nous peignons, vous peignez, ils peignent... sans dé mais ce peut être par jeu quand même ;-)

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Charles Pollock, ou peindre dans l'ombre d'un frère célèbrissime 10 Oct 2019 17:01 #9621

Quelle histoire en effet ! C'est là que l'on voit le poids des liens familiaux. Ils peuvent être bons mais aussi toxiques.
Heureusement qu'il avait une femme et une fille aimantes pour réparer cette injustice.
Merci pour ce partage Claudia.

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Charles Pollock, ou peindre dans l'ombre d'un frère célèbrissime 15 Oct 2019 18:41 #10075

Intéressante cette histoire ! Merci de nous l'avoir fait connaitre, Claudia !

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Charles Pollock, ou peindre dans l'ombre d'un frère célèbrissime 17 Oct 2019 16:00 #10205

merci d'avoir lu, je trouve cette histoire fascinante!
et la volonté de Charles à continuer la peinture envers et contre tout un bel exemple de vie !
"fais ce que tu aimes et t'occupes pas de ce que disent les gens", on devrait s'en souvenir lorsqu'on (je) s'autodévalorise!

Je ne trouve pas non plus cette histoire, bien plus triste (peut être quelqu'un en a entendu parler) : c'est une femme sans-abri, américaine je crois, qui était une dingue d'art moderne. Elle allait quand elle pouvait aux expos (je crois qu'on la laissait entrer, mais je n'en suis pas certaine, enfin elle était connue comme le loup blanc) et peignait, dans la rue, toute seule....
évidemment arriva ce qui arriva... la célébrité vint après son décès.
Si quelqu'un retrouve l'article ?

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Charles Pollock, ou peindre dans l'ombre d'un frère célèbrissime 17 Oct 2019 19:38 #10221

Ah, non, je n'en ai pas entendu parler.

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